Les Red Lions, eux, étaient attendus au tournant. Après deux prestations en demi-teinte, il fallait se reprendre. Dès l’entame du match, leur vitesse de course, leur rapidité d’exécution et leur technique surpassaient nettement celles des Espagnols. De plus, les contres de leurs adversaires étaient rapidement neutralisés par la défense belge.

À la fin du premier quart-temps, la Belgique ouvrait le score grâce à un sleep puissant d’Alexander Hendrickx : 1-0.

Les Belges creusaient l’écart durant le deuxième quart-temps, d’abord avec un tir croisé de Tom Boon, dont lui seul a le secret, puis avec un autre tir croisé d’Arthur de Sloover, plein centre : 3-0.
Ils obtenaient également un stroke suite à un rebond de PC, et Alexander Hendrickx alourdissait encore la marque : 4-0 à la mi-temps.

De retour des vestiaires, les Belges poursuivaient sur leur lancée et obtenaient deux nouveaux PC, sans parvenir à les concrétiser.
Leur jeu avait clairement évolué par rapport à la veille : plus incisif, plus déterminé.
Pas de but dans le troisième quart-temps, mais la domination restait belge.

Au début du dernier quart-temps, les Espagnols bénéficiaient d’un stroke suite à une faute défensive sur PC, qu’ils transformaient pour revenir à 4-1.
Les Red Lions répliquaient aussitôt par une belle action collective conclue par Guillaume Hellin : 5-1.

L’équipe espagnole parvenait encore à inscrire deux buts supplémentaires, portant le score à 5-3. Mais les Belges n’avaient pas dit leur dernier mot : Romain Duvekot scellait la marque à 6-3 sur un rebond de PC.

Les Red Lions ont livré une prestation bien plus construite et aboutie. Il faudra conserver cet état d’esprit pour la double confrontation à venir ce week-end contre l’Inde.